Les permanences se déroulent en Mairie. (A l'exception de Bourg-St-Andéol et St-Marcel-d'Ardèche)
Une permanence aura lieu tous les 15 jours à Privas sur rendez-vous.
Le Cheylard: le mercredi 20 janvier à 10 h
Bourg-Saint-Andéol : le lundi 25 janvier à 18 h (Maison de quartier Quai Fabry)
La Voulte-sur-Rhône : le jeudi 4 février à 10h
Le Teil : le jeudi 11 février à 10 h
Saint-Martin-d'Ardèche : le lundi 15 février à 18 h
Saint-Marcel-d’Ardèche : le lundi 29 février à 18 h (Maison de services publics)
Bourg-Saint-Andéol : le lundi 7 mars à 18 h (Maison de quartier Quai Fabry)
Le Cheylard : le mercredi 23 mars à 10 h
Le Teil : le jeudi 31 mars à 10 h
Viviers : le lundi 4 avril à 18 h
La Voulte-sur-Rhône : le jeudi 7 avril à 10 h
Bidon : le lundi 25 avril à 18 heures
Bourg-Saint-Andéol : le lundi 2 mai à 18 h (Maison de quartier Quai Fabry)
Larnas : le lundi 9 mai à 18 h
Saint-Just-d’Ardèche : le mardi 17 mai à 18 h
Le Cheylard : le mercredi 18 mai à 10 h
Saint-Montan : le lundi 23 mai à 18 h
Gras : le lundi 6 juin à 18 h
Bourg-Saint-Andéol : le lundi 13 juin à 18 h (Maison de quartier Quai Fabry)
La Voulte-sur-Rhône : le jeudi 16 juin à 10 h
Le Teil : le jeudi 23 juin à 10 h
Ven 09 Déc 2011 |
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Elsa Fornero, ministre italienne des affaires sociales en larmes pendant l'annonce du plan de rigueur draconien que son gouvernement a décidé d'adopter
Le changement de l’Europe passe par le changement en France. C’est la conclusion qu’il faut tirer de la rencontre franco-allemande. M. Sarkozy a tout lâché de ce que défendait la France : la mutualisation de la dette, le soutien de la BCE aux Etats, la souveraineté budgétaire des gouvernements, le contrôle démocratique des peuples… Le nouveau traité qui sera proposé au Conseil européen est inutile et dangereux. Inutile parce qu’il est un processus long qui ne répond en aucune façon à l’urgence dans laquelle se trouve la zone euro. Dangereux parce qu’il vise à institutionnaliser une politique d’austérité qui a mené l’Europe au bord du gouffre ; parce qu’il dessaisit les Etats de leurs prérogatives démocratiques en matière économique et budgétaire ; parce qu’il se soumet à la logique des marchés, là où il faudrait les réguler. Cette conception de l’Europe n’est pas la nôtre. Elle impose une vision punitive qui réduit la solidarité à un carcan disciplinaire.
Que M. Sarkozy cherche à maquiller cet abaissement en insultant les Français de « germanophobes » est pitoyable et indigne. Ce qui est en cause, ce n’est pas l’Allemagne, c’est un projet politique de droite qui est en train de ruiner les Européens. L’alternative, c’est le pacte de responsabilité, de gouvernance et de croissance que je défends depuis plusieurs mois. C’est la volonté de construire une Europe de combat qui sache défendre ses intérêts et celui de ses peuples. C'est aussi mettre en place des droits de douane qui s'appuient sur des clauses environnementales et sociales. |
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