Les permanences se déroulent en Mairie. (A l'exception de Bourg-St-Andéol et St-Marcel-d'Ardèche)
Une permanence aura lieu tous les 15 jours à Privas sur rendez-vous.
Le Cheylard: le mercredi 20 janvier à 10 h
Bourg-Saint-Andéol : le lundi 25 janvier à 18 h (Maison de quartier Quai Fabry)
La Voulte-sur-Rhône : le jeudi 4 février à 10h
Le Teil : le jeudi 11 février à 10 h
Saint-Martin-d'Ardèche : le lundi 15 février à 18 h
Saint-Marcel-d’Ardèche : le lundi 29 février à 18 h (Maison de services publics)
Bourg-Saint-Andéol : le lundi 7 mars à 18 h (Maison de quartier Quai Fabry)
Le Cheylard : le mercredi 23 mars à 10 h
Le Teil : le jeudi 31 mars à 10 h
Viviers : le lundi 4 avril à 18 h
La Voulte-sur-Rhône : le jeudi 7 avril à 10 h
Bidon : le lundi 25 avril à 18 heures
Bourg-Saint-Andéol : le lundi 2 mai à 18 h (Maison de quartier Quai Fabry)
Larnas : le lundi 9 mai à 18 h
Saint-Just-d’Ardèche : le mardi 17 mai à 18 h
Le Cheylard : le mercredi 18 mai à 10 h
Saint-Montan : le lundi 23 mai à 18 h
Gras : le lundi 6 juin à 18 h
Bourg-Saint-Andéol : le lundi 13 juin à 18 h (Maison de quartier Quai Fabry)
La Voulte-sur-Rhône : le jeudi 16 juin à 10 h
Le Teil : le jeudi 23 juin à 10 h
Mar 29 Oct 2013 |
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Le Premier Ministre, Jean-Marc Ayrault, a annoncé la suspension de la mise en œuvre de l'ecotaxe. Ce projet voté en 2009, conçu par l’ancienne majorité et préparé par l’ancien gouvernement, focalisait tous les mécontentements, particulièrement en Bretagne. En Ardèche, seule la RN102 était concernée par l’écotaxe.
Le constat est évident : l’écotaxe n’est pas la cause de la crise actuelle de l’agroalimentaire. Elle n’est pas encore entrée en vigueur, elle ne peut donc pas en être la cause. Mais elle soulève des questions de mise en œuvre qui n’ont pas été anticipées par le gouvernement précédent.
Comme chacun le sait, le courage, ce n’est pas l’obstination. Le courage, c’est d’écouter et de comprendre, c’est de rechercher la solution, de la chercher ensemble et d’éviter l’engrenage de la violence. Le courage, c’est de créer les conditions d’un dialogue sincère. C'est pourquoi il était nécessaire de prendre le temps de mettre en place un dialogue au niveau national et régional au sujet de l’écotaxe.
Déjà, trois ministres - Stéphane Le Foll, Frédéric Cuvillier et Guillaume Garot - ont fait des propositions concrètes dans ce sens. Elles concernent des mesures spécifiques d’exonération des poids lourds utilisés par l’agriculture et la pêche partout en France ainsi que des dispositions pour les régions périphériques.
L’écotaxe nécessite des corrections, mais elle doit être mise en œuvre, car elle est nécessaire. Suspension ne veut pas dire suppression. Tous les acteurs du dossier doivent être conscients que leur responsabilité est d’accepter le dialogue pour que tous ensemble nous trouvions des solutions adaptées et justes.
Il est en tout cas clair que nous ne pouvons renoncer à cette taxe, sachant que le contrat signé par l'UMP avec Ecomouv, société chargée du financement, de la conception, de la réalisation, de l'entretien, de l'exploitation et de la maintenance de l'écotaxe, contient une clause, qui, en cas de renoncement à l’accord, coûterait un milliard d'euros sur un an à l’Etat, dont 800 millions à payer immédiatement.
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