Les permanences se déroulent en Mairie. (A l'exception de Bourg-St-Andéol et St-Marcel-d'Ardèche)
Une permanence aura lieu tous les 15 jours à Privas sur rendez-vous.
Le Cheylard: le mercredi 20 janvier à 10 h
Bourg-Saint-Andéol : le lundi 25 janvier à 18 h (Maison de quartier Quai Fabry)
La Voulte-sur-Rhône : le jeudi 4 février à 10h
Le Teil : le jeudi 11 février à 10 h
Saint-Martin-d'Ardèche : le lundi 15 février à 18 h
Saint-Marcel-d’Ardèche : le lundi 29 février à 18 h (Maison de services publics)
Bourg-Saint-Andéol : le lundi 7 mars à 18 h (Maison de quartier Quai Fabry)
Le Cheylard : le mercredi 23 mars à 10 h
Le Teil : le jeudi 31 mars à 10 h
Viviers : le lundi 4 avril à 18 h
La Voulte-sur-Rhône : le jeudi 7 avril à 10 h
Bidon : le lundi 25 avril à 18 heures
Bourg-Saint-Andéol : le lundi 2 mai à 18 h (Maison de quartier Quai Fabry)
Larnas : le lundi 9 mai à 18 h
Saint-Just-d’Ardèche : le mardi 17 mai à 18 h
Le Cheylard : le mercredi 18 mai à 10 h
Saint-Montan : le lundi 23 mai à 18 h
Gras : le lundi 6 juin à 18 h
Bourg-Saint-Andéol : le lundi 13 juin à 18 h (Maison de quartier Quai Fabry)
La Voulte-sur-Rhône : le jeudi 16 juin à 10 h
Le Teil : le jeudi 23 juin à 10 h
Mar 27 Mar 2012 |
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Le chômage augmente pour le 10ème mois consécutif. Cela devrait inviter à la modestie, à la préoccupation et à la volonté d’agir. Et pourtant le candidat sortant semble s’en satisfaire puisqu’il a osé voir dans ces chiffres une bonne nouvelle évoquant « une décélération de l’augmentation du chômage ». Cet exercice d’autosatisfaction semble à bien des égards indécent au regard de ce que vivent quotidiennement des millions de demandeurs d’emploi. Les chiffres sont malheureusement sans appel ! Cinq ans après le début de son mandant, et trois ans et demi après le début de la crise, le chômage continue de progresser fortement en France, portant à 4.278.600 le nombre de Français qui recherchent activement un emploi. Depuis 2007, leur nombre a augmenté de + 1.047.100 !
Autre chiffre dramatique, depuis l’arrivée de Nicolas Sarkozy en 2007, la France a perdu pas moins de 680 000 emplois industriels. Le bilan de ces 5 années, c’est également le non remplacement et les suppressions de postes dans la fonction publique. Au final, là aussi, c’est un véritable plan social qui a été mis en œuvre sous la présidence de Nicolas Sarkozy. Un peu de retenue de la part du candidat sortant aurait été de bon ton. Malgré les déclarations de Nicolas Sarkozy, la crise n’explique pas tout. L’augmentation continue du chômage en France est aussi le résultat de la politique destructrice d’emploi qui a été menée depuis 5 ans : suppression d’emplois publics, multiplication des heures supplémentaires qui se sont substituées aux embauches, absence de véritable plan de relance, austérité budgétaire et salariale : la politique du candidat sortant a été une accumulation de contre-sens économiques. Le chômage n’est pas une fatalité. Il est temps de changer de politique de l’emploi. François Hollande en a fait l’une de ses priorités. Ses propositions sont connues, claires et chiffrées. Il propose notamment de mettre en place un pacte de productif basé sur une industrie ambitieuse, d’instaurer un contrat de génération qui insufflera une solidarité intergénérationnelle dans l’entreprise ou encore de créer 150.000 emplois d’avenir. C’est un changement radical de notre politique de l’emploi. Il y a urgence à remettre notre pays sur le chemin de la croissance et de créer ainsi les conditions qui favoriseront l’emploi et donc la baisse du chômage. J’assume pleinement avec François Hollande cette promesse.
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