Les permanences se déroulent en Mairie. (A l'exception de Bourg-St-Andéol et St-Marcel-d'Ardèche)
Une permanence aura lieu tous les 15 jours à Privas sur rendez-vous.
Le Cheylard: le mercredi 20 janvier à 10 h
Bourg-Saint-Andéol : le lundi 25 janvier à 18 h (Maison de quartier Quai Fabry)
La Voulte-sur-Rhône : le jeudi 4 février à 10h
Le Teil : le jeudi 11 février à 10 h
Saint-Martin-d'Ardèche : le lundi 15 février à 18 h
Saint-Marcel-d’Ardèche : le lundi 29 février à 18 h (Maison de services publics)
Bourg-Saint-Andéol : le lundi 7 mars à 18 h (Maison de quartier Quai Fabry)
Le Cheylard : le mercredi 23 mars à 10 h
Le Teil : le jeudi 31 mars à 10 h
Viviers : le lundi 4 avril à 18 h
La Voulte-sur-Rhône : le jeudi 7 avril à 10 h
Bidon : le lundi 25 avril à 18 heures
Bourg-Saint-Andéol : le lundi 2 mai à 18 h (Maison de quartier Quai Fabry)
Larnas : le lundi 9 mai à 18 h
Saint-Just-d’Ardèche : le mardi 17 mai à 18 h
Le Cheylard : le mercredi 18 mai à 10 h
Saint-Montan : le lundi 23 mai à 18 h
Gras : le lundi 6 juin à 18 h
Bourg-Saint-Andéol : le lundi 13 juin à 18 h (Maison de quartier Quai Fabry)
La Voulte-sur-Rhône : le jeudi 16 juin à 10 h
Le Teil : le jeudi 23 juin à 10 h
Sam 14 Jan 2012 |
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La France a perdu son triple A. C’est d’abord une mauvaise nouvelle car ce sont les Français qui vont en payer le prix. Malheureusement on s’y attendait. Cette dégradation est d’abord le résultat de la politique économique menée par l’actuel président de la République. Il avait pourtant dit qu’il ferait tout pour garder le triple A, qu’il avait érigé en « trésor national ». Impossible donc aujourd’hui de crier qu’il n’y est pour rien ! Il a fait le contraire de ce qui était nécessaire et juste. Il aurait fallu relancer la croissance : il a fait le choix de l’austérité. Il aurait fallu mettre fin aux excès de la finance : il y a renoncé. Il aurait fallu supprimer les niches fiscales injustes et l’ensemble des cadeaux fiscaux distribués aux plus riches : il a toujours refusé. Il aurait fallu un plan européen d’urgence pour relancer la croissance et l’emploi. Il aurait fallu travailler à un pilotage économique de la zone euro. Le Président de la République a passé une partie de son mandat à faire des cadeaux fiscaux aux plus favorisés et une seconde à les faire payer aux classes populaires et moyennes, avec la casse des retraites, des services publics, deux plans d’austérité de 20 milliards et sans compter la hausse à venir de la TVA. Les Français vont désormais en subir les conséquences : un crédit plus cher, des déficits encore creusés, une consommation et des investissements encore en baisse. On ne refera pas l’histoire mais cette dégradation aurait pu être évitée. Aujourd’hui il faut regarder l’avenir. Il est temps que la France emprunte un autre chemin. Un chemin, certes étroit, certes difficile mais qui serait fait de besoins raisonnés, de dépenses efficaces et de recettes diversifiées qui pèseraient moins lourdement sur les épaules de ceux qui travaillent. Cela passe par une ambitieuse réforme fiscale, par un meilleur équilibre entre la fiscalité du travail et du capital, par une politique industrielle forte, par une relance de la croissance, par une ambition européenne réaffirmée. Il y a urgence à mettre en oeuvre une autre politique. C'est tout l'enjeu des mois qui viennent. |
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