Les permanences se déroulent en Mairie. (A l'exception de Bourg-St-Andéol et St-Marcel-d'Ardèche)
Une permanence aura lieu tous les 15 jours à Privas sur rendez-vous.
Le Cheylard: le mercredi 20 janvier à 10 h
Bourg-Saint-Andéol : le lundi 25 janvier à 18 h (Maison de quartier Quai Fabry)
La Voulte-sur-Rhône : le jeudi 4 février à 10h
Le Teil : le jeudi 11 février à 10 h
Saint-Martin-d'Ardèche : le lundi 15 février à 18 h
Saint-Marcel-d’Ardèche : le lundi 29 février à 18 h (Maison de services publics)
Bourg-Saint-Andéol : le lundi 7 mars à 18 h (Maison de quartier Quai Fabry)
Le Cheylard : le mercredi 23 mars à 10 h
Le Teil : le jeudi 31 mars à 10 h
Viviers : le lundi 4 avril à 18 h
La Voulte-sur-Rhône : le jeudi 7 avril à 10 h
Bidon : le lundi 25 avril à 18 heures
Bourg-Saint-Andéol : le lundi 2 mai à 18 h (Maison de quartier Quai Fabry)
Larnas : le lundi 9 mai à 18 h
Saint-Just-d’Ardèche : le mardi 17 mai à 18 h
Le Cheylard : le mercredi 18 mai à 10 h
Saint-Montan : le lundi 23 mai à 18 h
Gras : le lundi 6 juin à 18 h
Bourg-Saint-Andéol : le lundi 13 juin à 18 h (Maison de quartier Quai Fabry)
La Voulte-sur-Rhône : le jeudi 16 juin à 10 h
Le Teil : le jeudi 23 juin à 10 h
Mer 18 Fév 2015 |
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Le Parlement européen a adopté, la semaine dernière, une résolution sur l’indication du pays d’origine de la viande utilisée dans les aliments transformés. Cette résolution vise à demander à la Commission européenne de répondre aux attentes des consommateurs et des professionnels de la viande qui demandent de manière constante que l’origine de la viande dans les plats préparés soit clairement indiquée. Cette résolution du Parlement européen reprend les demandes portées de façon constante par les élus depuis la crise de la viande de cheval présente dans des plats préparés en lieu et place de la viande de bœuf il y a maintenant deux ans. Des avancées ont été obtenues sur l’étiquetage de l’origine de la viande fraîche pour les viandes de porc, volailles, ovins et caprins qui seront obligatoires à partir du 1er avril 2015, mais cela ne répond que partiellement aux attentes des consommateurs français et européens. Comme le rapport de la Commission le souligne, 90% des consommateurs sont en faveur d’un tel étiquetage. Cette exigence est un élément déterminant de réconciliation des consommateurs avec leur alimentation, et au-delà, avec l’Union européenne dans sa mission de protection des Européens. C’est en effet la réglementation européenne qui s’impose à tous les Etats membres en cette matière et les consommateurs attendent légitimement que l’Union européenne prenne des initiatives allant dans le sens de leurs demandes. Les professionnels français des filières viande et au-delà se sont emparés de cet enjeu en lançant, dès le salon de l’agriculture 2013, la démarche "viandes de France" et ont été rejoints par d’autres filières dans cette dynamique (œufs, fleurs, lait). Je soutiens cette démarche qui démontre que cet étiquetage est souhaité également des filières. L’indication de l’origine de la viande doit être appréhendée comme un dispositif de valorisation des produits européens et non comme un élément visant à déstabiliser le marché intérieur. Cet effort commun de vérité et de transparence doit aussi permettre de sécuriser nos filières. C’est un véritable enjeu en Ardèche.
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